"Dark Undercoat" (Talitres, avril 2008) dévoilait le folk meurtri, sensible et habité d'Emily Jane White: oeuvre solitaire d'une californienne voyageuse.
Emily effectue alors trois longues tournées européennes pendant lesquelles elle multiplie les collaborations et s’entoure de musiciens amis (violon, contrebasse, violoncelle, pedal steel, batterie). Ce sont ces musiciens qu’elle appellera pour l’épauler en studio dans le cadre de la production de son second album.
Enregistré sur une période d'un an à San Francisco et à Oakland, sur la côte Ouest américaine, "Victorian America", 12 titres, où planent les souvenirs des personnes et des artistes disparus, la complexité des relations humaines, ou quelques personnages de la littérature, inspiration revendiquée d’Emily.
CD album en digipack 3 volets 12 titres.
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