Depuis "Dark Undercoat" (avril 2008), premier long format à l'étonnante maturité, un dark-folk émouvant drapé d'un chant magnétique et à la grâce éblouissante, jusqu'à " VictorianAmerica" (octobre 2009), second opus où orchestrations et arrangements s'étoffent, la douce Emily Jane White a multiplié tournées européennes et rencontres artistiques.
Prolifique, la californienne a enregistré son troisième album "Ode To Sentience" entre mars et juin 2010 dans quatre lieux différents de la baie de San Francisco, en compagnie de son partenaire de studio Ross Harris. Ouvrant davantage la porte aux improvisations lors des prises de sons, les compositions dévoilées ici dégagent une spontanéité et une fraîcheur nouvelle.
"J'ai été traversée par un sentiment de délivrance lors de l'écriture de ces chansons. Elle évoquent la complexité des relations humaines mais aussi le côté unique et direct de toute émotion. 'Ode To Sentience' car c'est cette capacité qu'a chacun d'éprouver des sensations, simples et intimes, qui permet aussi l'échange et le partage autour de la musique" explique Emily.
Disque le plus personnel d'Emily Jane White "Ode To Sentience" offre dix ballades somptueuses, tour à tour épurées, captivantes et lumineuses.
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